
Niveaux minimaux : jusqu'à quel point sont-ils facultatifs ?
Le TA de Melun a rendu, début juin, une ordonnance pour le moins étonnante : parce que facultatifs, les niveaux minimaux de capacité ne sont finalement pas obligatoirement applicables par la personne publique qui décide de les fixer. Plus fort encore, le juge considère que des critères, non mentionnés dans les documents de la consultation mais dans le courrier de rejet des offres, ne sont pas des critères nouveaux car liés à l’objet du marché. Marie Lhéritier et Clémence Cordier, toutes deux avocates au Cabinet Yves-René Guillou avocats, nous donnent leur sentiment sur cette décision plutôt bancale.


Abonnez-vous pour continuer votre lecture
15 jours gratuits sans engagement


Envoyer à un collègue
Responsable de l’unité suivi des tiers et des marchés (f/h)
- 22/05/2025
- Montpellie Métropole
Responsable du service commande publique (f/h)
- 22/05/2025
- Ville de Livry-Gargan
Gestionnaire administratif de la commande publique (f/h)
- 22/05/2025
- Ville de Saint-Gilles
TA Marseille 8 avril 2025 Société SRG
-
Article réservé aux abonnés
- 23/05/25
- 07h05
CAA Douai, 14 mai 2025, req. n° 22DA01993
-
Article réservé aux abonnés
- 22/05/25
- 12h05
TA Marseille 8 avril 2025 Société Européenne d'équipement et d'aménagement
-
Article réservé aux abonnés
- 22/05/25
- 07h05
achatpublic invite... Nicolas Lafay : « Le contentieux porte la marque de la professionnalisation des acheteurs publics »
-
Article réservé aux abonnés
- 22/05/25 08h05
- Jean-Marc Joannès
Brest Métropole : un critère d’analyse des offres “féminisation” !
-
Article réservé aux abonnés
- 20/05/25 06h05
- Jean-François Aubry
Rejet des candidats en marché public : pas d’obligation de détailler les éléments d’appréciation
-
Article réservé aux abonnés
- 16/05/25
- 06h05
Offre économiquement la plus avantageuse écartée… contentieux au tournant !
-
Article réservé aux abonnés
- 19/05/25
- 06h05