Ne devrait-on pas toujours mettre la note maximale à l’offre technique, si tel est le cas pour le prix, afin de respecter l’écart de pondération des critères ? Peut-on considérer qu’il y a distorsion si la notation technique ne donne pas lieu à l’attribution de la note maximale, alors que celle-ci est généralement atteinte pour le prix ? Vastes questions, et finalement vastes réponses, car elles soulèvent en effet une réflexion plus large sur la politique de notation des critères.

A peu près tout le monde semble d’accord sur le principe de mettre une note maximale à l’offre technique, si celle-ci le mérite, à l’instar de ce qui se pratique pour le prix. Il n’en demeure pas moins que la notation de la partie technique, du fait de sa part de subjectivité, emporte difficilement la note maximale dans la plupart des cas, ce qui nous ramène au problème de départ…  Au service des march&ea

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