Marchés publics : prends l’oseille et tire-toi

  • 08/12/2011
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Fin connaisseur de la restauration collective, fondateur du cabinet RSD, auteur avec Jacques Pelissard du fameux « cantines : le règne de la mal-bouffe ? », Philippe Durrèche, également ancien élu local, n’a pas sa langue dans sa poche. Cette fois, il s’en prend aux effets pervers de la hausse du petit seuil à 15 000 euros et son impact sur les achats de denrées.

Il existe un proverbe que chacun connaît et qui nous dit que « l’enfer est pavé de bonnes intentions ». A force de l’avoir vu à l’œuvre au cours de ma vie, j’en suis venu à le catégoriser sous le concept d’effet EPBI. J’appelle « effet EPBI » tout phénomène catastrophique qui a, au départ, été conçu avec les meilleures intentions du monde. Pour tout vous dire, j’en suis même à m’interroger pour savoir si l’effet inverse pourrait marcher, à savoir si le paradis pouvait avoir été pensé par des s

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