
Comment les termes de la loi l’emportent sur la liberté contractuelle
Cet article fait partie du dossier :
Maîtrise d'œuvre : coût prévisionnel
Secrétaire général de la MIQCP, Christian Romon a tenu à réagir à la suite de l’article d’Arnaud Latrèche commentant l’arrêt de la cour administrative d’appel de Lyon du 26 avril 2018. La Mission qu’il représente est en total désaccord avec l’analyse faite. Le champ d’application de la liberté contractuelle peut ainsi être restreint par des dispositions d’ordre public. Et le juge administratif a considéré à juste titre que les dispositions de la loi MOP et du décret missions prévalaient sur les clauses contractuelles relatives aux pénalités liées au non-respect des engagements du maître d’œuvre.


Abonnez-vous pour continuer votre lecture
15 jours gratuits sans engagement
Sur le même sujet


Envoyer à un collègue
- 15/04/2025
- CADI
Gestionnaire administratif et marchés publics (f/h)
- 15/04/2025
- CADI
Responsable de service Commande Publique (f/h)
- 15/04/2025
- Ville d’Auch
TA Grenoble 12 mars 2025 Société Talco Languedoc
-
Article réservé aux abonnés
- 17/04/25
- 07h04
TA Poitier 6 mars 2025 Communauté d'agglomération de Grand Châtellerault
-
Article réservé aux abonnés
- 16/04/25
- 07h04
TA Rouen 12 mars 2025 Société Smac
-
Article réservé aux abonnés
- 15/04/25
- 07h04
Commande publique "verte" : les économistes pas tendres envers les critères environnementaux !
-
Article réservé aux abonnés
- 10/04/25 06h04
- Mathieu Laugier
Acheteurs publics : les trouver, c’est compliqué ; les garder, c’est pire !
-
Article réservé aux abonnés
- 17/04/25 06h04
- Jean-François Aubry
Incohérence entre la notation et les commentaires : marché public irrégulier
-
Article réservé aux abonnés
- 10/04/25
- 06h04
-
Article réservé aux abonnés
- 14/04/25
- 06h04