William Azan : « L’avance devrait être obligatoire et les groupements solidaires limités »

  • 10/02/2011
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William Azan, avocat et fondateur du cabinet Azan Avocats et Associés, a plus d’une idée dans son sac pour améliorer l’accès des PME aux marchés publics. La bonne santé de leur trésorerie étant cruciale, il souhaiterait que les avances deviennent obligatoires et que l’exigence de solidarité des groupements momentanés d’entreprises soit réservée aux dossiers les plus complexes. Il plaide aussi pour un toilettage de la sous-traitance et le principe d’indemnisation partielle des offres.

Crise économique oblige, l’accès des PME à la commande publique est devenu un sujet très débattu, (1) d’autant que certaines branches d’activité - fournituristes de bureau en tête - continuent de dénoncer les groupements de commande de l’UGAP et du service des achats de l’Etat (SAE) (2) qui, du fait de leur volume trop important, les excluraient des marchés lancés. Que faire pour améliorer la situation ? William Azan, avocat au cabinet Azan Avocats et Associés, a plusieurs réponses à apporte

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